Japanimation

Un anime pour Mecha !
Mais non en fait...

Basquash! d’Eiichi Sato et Shin Itagaki [2009]
 Vingt-six épisodes du studio Satelight. Du basket légendaire en mecha avec des personnages assez sympathiques dans une histoire superficielle. Le mecha-design a été réalisé par un français du nom de Thomas Romain.
1,2/6

Oui... non merci



Lupin III 07
Du thriller pulp pour cet épisode avec une incursion dans la guerre froide, situant pour le coup la série dans le temps (et dans un monde parallèle en changeant les noms des pays). Le staff s'amuse de plus avec la timeline de l'épisode et les cartons du type "2 semaines plus tôt". C'est plutôt statique mais assez marqué visuellement (les couleurs des camps, ...) avec une résolution over-ze-top.

Lupin III 08
Un épisode moins funky que les précédents mais qui fait avancer l'intrigue en dévoilant un peu du mystère autour de Fujiko. Ses rêveries baroques sont toujours top (ainsi que la bande son les accompagnant) et quelques plans/idées trouent vraiment les fesses (comme le sablier 'antigravitationnel').

Tout arrive !

Durarara !! aka DRRR !! de Takahiro Omori [2010]
Un anime bien sympathique au scénario ouvragé en vingt-quatre épisodes denses. Tiré d’une série de light novel de Ryôgo Narita illustrée par Suzuhito Yasuda. Les épisodes DVD-only 12.5 et 25, assez japoniais, n’ont que peu d’intérêt.
4,5/6

Yay \o/

Sakura Mail de Kunitoshi Okajima et Tsuguo Ozara [1997]
Ce journal intime de Sakura est une version écourtée du manga ecchi de U-Jin. C’est pour cette raison, probablement, que la fin est bâclée. Destiné à un jeune public, cet assez sympathique japanime manque d’envergure.
3/6

Clannad de Tatsuya Ishihara [2007]
Un étonnant japanime, adapté d’un visual novel, en vingt-quatre épisodes d’une grande homogénéité ; constant intérêt, histoire travaillée, personnages aux caractères fouillés. Les deux derniers épisodes sont, en fait, deux fins alternatives concernant le futur amoureux du personnage principal Tomoya Okazaki. Le dernier est assez émouvant.
3,8/6

Bungaku Shōjo Memoir aka Bungaku Shoujo Mémoire de Shunsuke Tada [2010]
Trois Shōjo romantiques et originaux.
3,2/6

Mirai Nikki de Naoto Hosoda [2010]
Un oav de huit minutes et quarante-trois secondes ; c’est donc le début d’une histoire. J’ai déjà vu des preview plus long. Il est fort possible que cela soit la première adaptation du manga de Sakae Esuno, en douze volumes, distribué avec l’édition limitée du onzième tome. Une série télé d’animation en vingt-six épisodes du studio Asraed est sortie en 2011-2012.
1/6

Tamayura de Junichi Sato [2010]
Oav, en quatre petits épisodes, dégoulinant de bons sentiments dans le genre habituel de Jun'ichi Satō.
1/6

Chi's Sweet Home de Mitsuyuki Masuhara [2008]
Cette série de cent quatre courts épisodes, originale et trop kawaii, ne tient pas la distance. L’histoire s’essouffle rapidement ne trouvant pas assez de nouveaux éléments. Tous les âges peuvent, cependant, trouver leur bonheur dans cette réalisation créative et pleine de charme.
3,5/6

Clannad After Story de Tatsuya Ishihara [2008-2009]
La suite de Clannad, en vingt-cinq épisodes, riches en émotions parfois à la limite du pathos mais qui sonne toujours juste.
3,7/6

Clannad de Osamu Dezaki [2007]
Ce film d’animation, produit avant la série de Tatsuya Ishihara, a un scénario beaucoup moins élaboré et un dessin plus simpliste que cette dernière. Il est certain qu’en une heure et trente minutes on doit aller à l’essentiel mais cet impératif a fait disparaitre tout charme, profondeur et émotion à l’histoire. L’animation manquant de fluidité, de trop nombreux plans figés donne l’impression d’un travail bâclé.
1,8/6

Bungaku Shōjo aka A Literary Girl aka Bungaku Shoujo - Le Film de Shunsuke Tada [2010]
Sorti le mois précédent avant le premier des trois oav qui ne sont que la même histoire scindée, ce film, au scénario bien structuré construit autour d’une célèbre nouvelle japonaise de Kenji Miyazawa écrite en 1927 et intitulée Ginga Tetsudō no Yoru aka Train de nuit dans la Voie lactée, allie le charme d’un Shōjo typiquement nippon à un sujet de réflexion sur le bonheur, le suicide et l’importance de la littérature dans l’accomplissement personnel.
3,5/6

Gekijōban Hagane No Renkinjutsushi - Shanbara Wo Yuku Mono aka Fullmetal Alchemist - Conquérant De Shambala de Seiji Mizushima [2005]
Ne connaissant pas la saga, de nombreuses références m’ont manquées au long de ce film destiné à des spectateurs prépubères.
0,8/6

Wonderful Days aka Sky Blue de Moon-Saeng Kim [2003]
Le seul long métrage d’animation de Moon-Saeng Kim dans sa carrière peu substantielle. Très apparenté aux animes japonais, ce film sud-coréen, sur un solide mais conventionnel scénario futuriste, allie la fluidité d’une image soignée à la consistance des caractères des personnages. Prix du film d'animation au Festival Fantastic'Arts de Gérardmer en 2004.
3,4/6

Hoshi No Umi No Amuri aka Amuri In Star Ocean d’Yoshitomo Yonetani [2008]
Trois oav adaptés du manga. Une japoniaiserie spaciale sous acide.
0,5/6

Appurushîdo aka Appleseed de Kazuyoshi Katayama [1988]
Un oav qui a mal vieilli. L’animation est raide et le scénario enfantin.
0,2/6

Il FAUT voir Momo e no Tegami (A Letter to Momo) d'Hiroyuki Okiura (Jin Roh, c'est lui).
Ça cause d'enfance et de yokai et c'est super (touchant, mignon, joli, rigolo...).
Evitez de regarder la bande annonce, elle déflore beaucoup trop de passages du film.

Genmu Senki Leda aka Leda - The Fantastic Adventure Of Yohko aka Yoko Leda de Kunihiko Yuyama [1985]
Un oav des années 80. Couleurs criardes, bande originale simpliste et histoire peu enthousiasmante. Kunihiko Yuyama a ultérieurement beaucoup travaillé sur les Pokémon et les Pocket Monsters.
0,8/6

Minami-Ke – Okawari aka Minami-Ke - Saison 2 de Naoto Hosoda [2008]
Issue du manga de Koharu Sakuraba, la sympathique famille Minami, constituée de trois sœurs, permet de découvrir bon nombre de détails sur la vie de tous les jours des japonais notamment en cuisine. Une comédie légère et bon enfant.
3,5/6

Minami-Ke – Okaeri aka Minami-Ke - Saison 3 de Kei Oikawa [2009]
Une troisième saison qui perd un peu de sa spécificité et est parfois un brin plus grave.
3,4/6

Casshern Sins de Shigeyasu Yamauchi [2008]
 Un anime intense, au graphisme épuré et au noir récit prenant, issu d’une série originelle nommée Shinzō Ningen Kyashān. Cette animation de vingt-quatre épisodes produite par Madhouse a fait l'objet d'une adaptation en manga dans le magazine Comic Rush.
4/6

Rental Magica d’Itsuro Kawasaki [2007-2008]
  Une adaptation en vingt-quatre épisodes, réalisée par le studio Zexcs, de la série de light novel de Makoto Sanda. Les personnages sont attachants, la trame de l’histoire intéressante et les aventures de ces mages distrayantes quoique ténues.
3,2/6

Kimikiss Pure Rouge de Kenichi Kasai [2007-2008]
  Produit par le studio J. C. Staff, Vingt-quatre épisodes et un spécial, sorti seulement sur Dvd, d’amour et d’amitié. Simple, touchant et aux personnages attachants.
3,2/6

Prism Ark de Masami Obari [2007]
  Du jeu vidéo érotique développé par Pajamas Soft a été tiré un manga et cet anime de douze épisodes. Comme souvent pour un anime issu d’un visual novel, le scénario semble bricolé laissant de nombreux points inexpliqués. Le studio Frontline a cependant réussi à nous offrir de la fantasy ecchi avec un aspect pantsu judicieusement utilisé.
2,6/6